ET MAINTENANT QUE VOUS SAVEZ

ET MAINTENANT QUE VOUS SAVEZ !

5/2004

Au lendemain de la guerre 1940 >1945, quand fut ‘’officiellement‘’reconnu le sort des 80.000 Juifs déportés de France dans les camps de la mort nazis, avec la complicité active des administrations françaises et d’une grande partie de la population de ce pays, les Survivants se posèrent une question :

- Pourquoi vous, les non juifs, vous êtes-vous enfermés dans une indifférence criminelle, pourquoi n’avez-vous pas voulu voir ni comprendre, pourquoi votre aide a-t-elle été si parcimonieuse. ?

Ils furent très surpris d’entendre les ‘’bons français’’, pour s’exonérer de leur collusion avec les nazis ou de leur indifférence a nos souffrances leur dire :

Ah nous ne savions pas !

Il est vrai qu’il y eut après 1942 une réaction ‘’négative’’ de la population, disent les rapports de police de l’époque quand elle s’aperçut que sur ordre du Président du Conseil français Pierre Laval les policiers français et les nazis arrêtaient et déportaient aussi les enfants Juifs.

On peut à juste titre s’interroger sur les raisons qui ont fait que les bons français et leurs églises n’aient rien eu à redire quand la police pourchassait seulement les parents.

64 ans après alors que se révèle et s’officialise à nouveau l’antisémitisme français, alors que vous pouvez directement voir sur vos postes de télévision la décapitation en Irak par les barbares islamistes d’un journaliste Daniel Pearl et d’un homme d’affaire Nick Berg uniquement parce qu’ils sont Juifs, que dites-vous, que faites-vous ?

Vous avez eu aussi loisir de voir sur vos écrans les terroristes palestiniens exhiber, sanglants trophées, les lambeaux de chair de soldats Israéliens.

Alors maintenant, vous savez ce qui se passe, vous l’avez même vu à domicile !

Faut-il attendre que ces mêmes islamistes tuent des enfants Juifs à la télévision, devant vos yeux pour que vous réagissiez ?

Votre comportement actuel fait pièce aux faux prétextes que vous évoquiez après la guerre en 1945 pour masquer votre criminalité passive, dans le meilleur des cas.